14.3.17

Angèle ou Le Syndrome de la wassingue

Vient de paraître

aux Editions Cours toujours

Premier volume publié dans la collection "La vie rêvée des choses" aux éditions Cours toujours, Angèle ou Le Syndrome de la wassingue est une chronique sensible et mystérieuse, bâtie autour d'Angèle, fillette de huit ans, un peu étrange, vivant dans un monde d'avant... Elle s’imprègne de son quotidien, s’imbibe du bien et du mal et se noie dans ses rêves, sans parvenir à extraire, exprimer, essorer…
Roman sur l’enfance et l’innocence, ode à la vie et à la nature, Angèle ou Le Syndrome de la wassingue est aussi un récit d’apprentissage dont le chant monte crescendo, du murmure à l’envol lyrique, pour accompagner son merveilleux personnage sur un chemin onirique et libératoire.

80 pages, plus un carnet de curiosités de la wassingue avec des illustrations en couleurs, couverture à rabats. 14 €

Les premières phrases du livre  : 
L’eau du ciel dégringole sur les épaules de la gamine. Il pleut depuis qu’elle a franchi le portillon de la cour de l’école des filles. La main qui tient la poignée de son cartable est glacée. Le foulard sous lequel elle protège et dissimule ses tresses rousses est gorgé d’eau. Angèle sent un filet froid qui, goutte à goutte, serpente le long de sa colonne vertébrale. Elle marche sur le bas-côté en évitant les flaques, en préservant le cuir de ses bottines. Deux kilomètres à pied, quatre fois par jour. Pas facile d’habiter à l’écart du village.

On en parle : 
Coup de cœur d'Elisabeth Chombart au Marais du Livre Lucien Suel se met dans la peau d’une fillette de 8 ans et l’incarne d’une manière saisissante !

Sophie Les Bas Bleus sur Babelio C'est toute l'enfance qui nous revient en vagues sensorielles et craintives.

Gwenaëlle Abolivier sur son blog Il y a de l’apesanteur, mais également de la gravité teintée de nostalgie, dans l’écriture limpide et poétique de ce court récit qui puise ses racines dans la réalité à la fois cruelle et tendre de l’enfance.

Une autre critique sur Babelio par Belaval Lucien Suel nous fait découvrir le monde d'une fillette hypersensible et innocente où la wassingue, mot du nord pour serpillière, joue un rôle réel et métaphorique…

Coup de cœur de Christelle Massin sur France 3 Nord Pas-de-Calais. Elle a reçu l'auteur dans l'émission 9h50 le matin du 23 mars 2017 (6 dernières minutes de l'émission)

Grâce à l'écrivain Lucien Suel, la wassingue devient romanesque, un article de Thierry Saint-Maxin dans L'Echo de la Lys.

Christophe Henning en parle et lit un court extrait sur RCF dans l'émission d'Elise Fischer (à partir de la 50ème minute)

"Lucien Suel a toujours la main verte", article de Reno Vatain dans La Voix du Nord Récit pas comme les autres d’une enfance d’après-guerre, où le Nord se devine, se respire. Et où Angèle découvre que l’innocence n’est pas éternelle.

Sur le blog de la librairie Pages d'encre, Stéphane Hun louange "Angèle" à lire allongé sur le dos en pleine nature, une tige de graminée dans la bouche, avec une wassingue (neuve) sous la tête en guise d’oreiller.

Autres louanges par D. Gheerbrant du côté du Grillon du foyer Un récit d’enfance, nourri de rêve et de poésie, témoignage attendri d’une époque révolue...
 
Une remarque d'Anne de Mai sur Babelio : J'ai une impression de trop peu, de pas assez. J'aurais aimé voir Angèle grandir, curieuse de connaître la femme que serait devenue cette enfant...




posted by Lucien Suel at 09:27