Ni bruit ni fureur
Vient de paraître
Aux Editions de La Table Ronde
175 pages 16 euros
PRIX DE POÉSIE 2018 de la revue NUNC
Anthologie poétique en trois parties
Enfance
au Nord
1. L’enfant de
Fressin
2. Regarde
3. Memento
4. Carrés de veau
5. Mer du Nord
6. Exils des silex
7. Fille du Nord
8. Lame la lame lame
la mer
9. Tranches de porc
10. Mauvais karma
11. Un aller simple
pour Roubaix
Le
jardin
12. Livres de
jeunesse
13. Madeleine
14. Un jardin
re[garde un] jardin
15. Ni bruit ni
fureur
16. Orage
17. Les phalanges
boueuses
18. Narcisse(s)
19. Semailles
Les
disparus
20. Known unto God
21. Souvenirs du Big
Bang
22. Ossuaire
23. Rame
24. Rivière
25. Idiomes colorés
26. Fleuves et
rivières
27. La guerre
28. Haïkus d’encens
29. Christophe
Tarkos
30. Christophe
Wattel
31. Les champs de la
nuit
32. Bleu
33. Rideaux de
poudre
34. Tombes
35. Je ne suis pas mort
35. Je ne suis pas mort
Une première
critique par Jean-Paul Gavard-Perret sur le site Le
Littéraire.com : Livre précieux que ce Ni
bruit ni fureur, second volume de l’anthologie poétique
du poète...
Une lecture-présentation par Laurent Margantin sur Youtube.
Sur le blog Grillon du foyer, le coup de cœur de Danièle Gheerbrant.
Un commentaire de Philippe Billé dans son Journal documentaire. "Un titre aussi à rebours du goût actuel pour le vacarme et le chambard aurait suffi à lui seul pour me ravir, mais le contenu m’a plu également..."
"Lucien Suel, total", un article de Jérôme Leroy sur le blog Feu sur le quartier général. "[...] l'on s'aperçoit tout d'un coup, l'air de rien, avec cette poésie pleine des mots de tous les jours, cette poésie empreinte d'évidente humanité et d'une manière de courtoisie dans l'invitation à la lecture, qu'on est en présence d'un recueil circulaire, un recueil total auquel on peut revenir sans cesse, auquel on reviendra sans cesse."
Belle chronique de Jacques Josse sur le site Remue net, une somme foisonnante, ouverte, offrant des formes variées,[...] Lucien Suel fouille, bouge, traverse nombre de paysages, fixe la ligne d’horizon, la franchit fréquemment, saute les frontières, porte un regard attentif et fraternel sur tous ceux (vivants et morts) qui l’accompagnent sur les routes des Flandres, de Picardie, d’Artois ...
L'avis de la Médiathèque du Nord Libertaire, sensible, créative, humoristique, la poésie de Lucien Suel nous enchante.
Trois poèmes extraits du livre ont été choisis pour figurer dans l'Anthologie permanente de Poézibao : Livres de jeunesse, Madeleine, Rame.
Une longue note de lecture par Murielle Compère-Demarcy est publiée sur le site de Poézibao Le poème est mimétique car il est œuvre active sans cesse recommencée, élaborée, ré-inventée, du jardinier du Nord faisant corps avec la terre maternelle, sa terre natale, comme la langue avec laquelle le poème fait corps. Et voix.
"Lucien Suel a toujours la main verte", article de Reno Vatain dans La Voix du Nord L’auteur préfère l’imaginaire, l’humour et la contemplation ; sans naïveté.
Belle description de l'ouvrage par Jean-Michel Raveu sur son blog Interférences Émotions intenses ; on ressort de ces plongées, longues goulées d’humanité comme en apnée, souvent noué.
Coup de cœur de Christophe Henning sur RCF dans l’émission Au fil des pages (à partir de la 50ème minute)
Un second come back anthologique, article de F.X. Farine sur sonblog Le Feu central Libertaire, sensible, créative, humoristique, la poésie de Lucien Suel plébiscitée, entre autres, par Jérôme Leroy, Daniel Fano ou Jean-Pascal Dubost, nous enchante
Article sur le blog Main Tenant C’est la terre qui habite Lucien Suel : « je suis le terreau brun / je respire sous la lune ».
Richard Blin en parle avec une grande exactitude dans les pages du Matricule des anges (n° 182, avril 2017) Un livre fait des plissements d’une mémoire fièrement revendiquée et hantée par le souci de ceux que la société a dupés, exploités ou marginalisés.
François Petit ajoute : « Dans cette anthologie du poète Lucien Suel, chaque mot va trouver sa place. En trois parties : l'enfance au Nord, le jardin, les disparus.Je vous conseille vivement de lâcher prise et de vous laisser embarquer dans un beau voyage intemporel qui débute et se termine avec Georges Bernanos, en 1948. On est sur les traces du célèbre écrivain (Sous le Soleil de Satan), par les chemins du pays d'Artois, bordés par des vieux saules étêtés. Plus loin, dans les jardins, on sacque, on rassacque, on retrouve les groëts et les arbraquettes, on y croise aussi un terrassier ému par un silex.Ce livre fait remonter plein de choses, qu'on pensait bien enfouies dans notre enfance, comme ce silex qui revient des profondeurs... »
Une lecture-présentation par Laurent Margantin sur Youtube.
Sur le blog Grillon du foyer, le coup de cœur de Danièle Gheerbrant.
Un commentaire de Philippe Billé dans son Journal documentaire. "Un titre aussi à rebours du goût actuel pour le vacarme et le chambard aurait suffi à lui seul pour me ravir, mais le contenu m’a plu également..."
"Lucien Suel, total", un article de Jérôme Leroy sur le blog Feu sur le quartier général. "[...] l'on s'aperçoit tout d'un coup, l'air de rien, avec cette poésie pleine des mots de tous les jours, cette poésie empreinte d'évidente humanité et d'une manière de courtoisie dans l'invitation à la lecture, qu'on est en présence d'un recueil circulaire, un recueil total auquel on peut revenir sans cesse, auquel on reviendra sans cesse."
Belle chronique de Jacques Josse sur le site Remue net, une somme foisonnante, ouverte, offrant des formes variées,[...] Lucien Suel fouille, bouge, traverse nombre de paysages, fixe la ligne d’horizon, la franchit fréquemment, saute les frontières, porte un regard attentif et fraternel sur tous ceux (vivants et morts) qui l’accompagnent sur les routes des Flandres, de Picardie, d’Artois ...
L'avis de la Médiathèque du Nord Libertaire, sensible, créative, humoristique, la poésie de Lucien Suel nous enchante.
Trois poèmes extraits du livre ont été choisis pour figurer dans l'Anthologie permanente de Poézibao : Livres de jeunesse, Madeleine, Rame.
Une longue note de lecture par Murielle Compère-Demarcy est publiée sur le site de Poézibao Le poème est mimétique car il est œuvre active sans cesse recommencée, élaborée, ré-inventée, du jardinier du Nord faisant corps avec la terre maternelle, sa terre natale, comme la langue avec laquelle le poème fait corps. Et voix.
"Lucien Suel a toujours la main verte", article de Reno Vatain dans La Voix du Nord L’auteur préfère l’imaginaire, l’humour et la contemplation ; sans naïveté.
Belle description de l'ouvrage par Jean-Michel Raveu sur son blog Interférences Émotions intenses ; on ressort de ces plongées, longues goulées d’humanité comme en apnée, souvent noué.
Coup de cœur de Christophe Henning sur RCF dans l’émission Au fil des pages (à partir de la 50ème minute)
Un second come back anthologique, article de F.X. Farine sur sonblog Le Feu central Libertaire, sensible, créative, humoristique, la poésie de Lucien Suel plébiscitée, entre autres, par Jérôme Leroy, Daniel Fano ou Jean-Pascal Dubost, nous enchante
Article sur le blog Main Tenant C’est la terre qui habite Lucien Suel : « je suis le terreau brun / je respire sous la lune ».
Richard Blin en parle avec une grande exactitude dans les pages du Matricule des anges (n° 182, avril 2017) Un livre fait des plissements d’une mémoire fièrement revendiquée et hantée par le souci de ceux que la société a dupés, exploités ou marginalisés.
François Petit ajoute : « Dans cette anthologie du poète Lucien Suel, chaque mot va trouver sa place. En trois parties : l'enfance au Nord, le jardin, les disparus.Je vous conseille vivement de lâcher prise et de vous laisser embarquer dans un beau voyage intemporel qui débute et se termine avec Georges Bernanos, en 1948. On est sur les traces du célèbre écrivain (Sous le Soleil de Satan), par les chemins du pays d'Artois, bordés par des vieux saules étêtés. Plus loin, dans les jardins, on sacque, on rassacque, on retrouve les groëts et les arbraquettes, on y croise aussi un terrassier ému par un silex.Ce livre fait remonter plein de choses, qu'on pensait bien enfouies dans notre enfance, comme ce silex qui revient des profondeurs... »