Vient de paraître
aux éditions Cours-toujours
RIVIÈRE
Roman
Distributeur DOD & Cie
Format 13x20cm, 152 pages, 17 €
On peut lire les 20 premières
pages : ICI
Chroniques
1
ÂMES
MORTES. CŒURS SIMPLES. RIVIÈRE, LE DERNIER ROMAN DE LUCIEN SUEL AUX ÉDITIONS
COURS TOUjOURS. Une chronique de Georges Guillain sur le site "Les
découvreurs".
2
Rivière
de Lucien Suel par François Huglo sur Sitaudis.
3
Lucien Suel, voyage à deux
"Rivière" est le récit d'un deuil sans fin, des confidences
amoureuses aux oiseaux du jardin
Dans Le Monde des Livres du 31 mars 2022, un article signé Xavier
Houssin dont j'extrais les lignes suivantes :
[...] Pour ce livre, [Lucien Suel] a pris le parti de la plus extrême
simplicité. D'un dénuement de forme. Il va à l'essentiel, et c'est cette épure
qui donne au texte sa proximité, sa vérité, son émotion. [...]
4
Points de vue de lecteurs sur Babelio
5
Céline Dereims, libraire à Valenciennes (LesYeux qui pétillent) exprime son enthousiasme pour Rivière dans cette vidéo de 5 mn.
6
Une remarque de Laurent Margantin : Beaucoup aimé Rivière et le mouvement narratif qui conduit de l'amour exclusif à l'attention à autrui.
7
par Alexandre Fillon dans Sud-Ouest : "Tout en mélancolie, « Rivière » est fait de réminiscences et de
promenades dans un temps qui s’étire des années 1960 à nos jours. Il
fait bon y naviguer."
8
Jacques Josse a lu "Rivière" pour le site Remue net
Extrait : Le roman de Lucien Suel dit le côté inexorable du temps qui passe (et emporte les
vies, use les corps) en suivant l’itinéraire d’un homme attachant qui a
assez de bouteille pour savoir que les retours en arrière, parfois
coupants comme du verre, ne lui seront favorables que s’il peut les
rendre lumineux. C’est ce à quoi il s’adonne. Sans jamais perdre de vue
ce quotidien qu’il enrichit en privilégiant les choses simples.
9
L'avis de Virginie Jalain,
Librairie Le Bateau Livre (Lille)
Nous sommes très heureux de recevoir le poète et auteur
de "La Patience de Mauricette et de "Mort d'un jardinier", "Ni bruit ni
fureur", "Angèle ou le syndrome de la wassingue" entre autres ;
Dans son dernier roman, "Rivière", Lucien Suel nous invite à partager
la solitude de Jean-Baptiste, veuf inconsolable qui la cultive
soigneusement en même temps que ses souvenirs et son jardin : s'il
renoue peu à peu avec le monde extérieur et ses semblables, ce n'est pas
sans retenue, mais avec le filtre d'une sensibilité mise à rude épreuve
et des émotions difficilement apprivoisées... D'une poésie et d'une
délicatesse absolue.
10
Article de Christian Defrance dans L'Echo du Pas-de-Calais n° 217 (avril 2022)
11
"Bleu comme le souvenir
LUCIEN SUEL Un roman clair où la poésie des choses simples sert de remède aux douleurs du deuil"
Tel
est le titre sur deux lignes de l'article que Sébastien Lapaque
consacre à Rivière dans Le Figaro Littéraire du jeudi 5 mai 2022.
12
Article sur le blog Main Tenant : Nous sommes dans l’émerveillement littéraire. Entre l’Artois et
l’Ardèche, avec une excursion à Rome. On croise des poètes, des
musiques, où l’amour s’est logé pour longtemps.
13
Podcast de mon entretien sur "Rivière" avec Jean Pasqualini sur Radio PFM le 1er mai à Arras. Joli moment de radio en direct.
Entretien de 0 à 40'25, puis à la demande de J. P., lecture de mon poème sur Patti Smith suivie de "Howl" de A. Ginsberg (version live par la chanteuse)
14
Extrait : [...] une intensité, une émotion peu communes. Simple. Juste. Sobre. J'y
apprécie une fois de plus au plus haut point l'absence d'effets de manche, l'épure
où me semble-t-il l'émotion qui nous touche naît des mots posés et ajustés avec un soin
patient et de ce qu'ils nous décrivent et nous racontent.
Rivière,
on s’y baigne, le flot en est étonnamment paisible, d’une sagesse fluide et
mélancolique, ode à une vie simple, d’humanité au quotidien.[...]
15
Sophie Selliez a beaucoup aimé "rivière", elle en parle sur son blog "Du merveilleux dans l'ordinaire", et sur ses comptes Babelio et Instagram
Extrait : J'ai adoré la plume
incroyablement poétique de Lucien Suel, pour ce talent qu'elle possède : ne
jamais en faire trop, toujours provoquer l'image lumineuse dans une
simplicité flirtant avec l'essentiel. Les mots coulent comme la rivière,
ils clapotent et nous entraînent dans le flot sans qu'on ait envie de
se débattre. La contemplation et le voyage suffisent.
16
"River of no return ?" un article de Gérard Lambert-Ullmann sur son blog "Les coudées franches"
Extrait : Du premier baiser adolescent à la maturité complice ; de Rome à
Lisbonne ; de la Belgique à l’Ardèche ; du Reggae des Caraïbes au Jazz
de New York, Jean Baptiste creuse le temps. Cajolé par les oiseaux dont Claire lui rappelle les onomatopées -Piii witt crouou spitivitt- Jean Baptiste, soignant ses souvenirs comme il soigne son jardin, ne se retire pas de l’amour ; ne se retire pas de la vie. Il suit le conseil de Claire : Avance sous les arbres dans le souffle du vent. Vis, aime, parle, chante, respire.
17
Florence Trocmé évoque "Rivière" et en publie un passage dans le chapitre "La Dimension phorique" de son Flotoir à la Rubrique
Solitaire encore, et retrait peut-être
Extrait : (...) Quel parcours solitaire que celui de Lucien Suel, ou plutôt de son héros dans le très beau livre Rivière
paru récemment aux éditions Cours toujours. Plusieurs fils se mêlent
là, des éléments de la vie du héros Jean-Baptiste Rivière (dont on se
demande s’ils sont autobiographiques ou pure fiction), l’évocation d’un
long, très long deuil, celui de Claire, la femme du narrateur, née en
1953, morte en 2001 à l’âge donc de 48 ans d’un cancer du pancréas,
présente très fortement dans le livre à travers les multiples évocations
d’elle qui traversent J.B. Rivière mais aussi par plusieurs
monologues-poèmes, en italique, toujours page de gauche, qui lui donne
en quelque sorte la parole depuis un supposé outre-monde. Bien troublant
par les questions ici posées : que reste-t-il de nous (étant entendu
qu’on est ici hors de tout Royaume des morts, plutôt dans des données
matérialistes) ?(...)
18
Dans Libération (25 juin 2022), un article de Frédérique Roussel
19
Dans l'émission "Paludes" sur Radio-Campus, remarquable lecture d'un extrait du roman et commentaire précis et enthousiaste de Nikola Delescluse.
En écoute ici sur Soundcloud (9mn)
20
(...) le sentiment de révolte s'est émoussé et
c'est quasi indifférent que le vieil homme assiste en spectateur à la
victoire d'un capitalisme débridé qui saccage la nature et méprise
l'humain.
Pourtant, mine de rien, c'est en se
tournant vers les autres, en appréciant de nouveau le spectacle de la
nature que notre héros va reprendre pied...
21
"Parole de Claire à Jean-Baptiste. Vis, aime, parle, chante, respire."
Un texte magnifique sur le deuil. Le poète-jardinier de l’Artois reste une voix lumineuse et singulière.
22
"Souvenirs, souvenirs... L'amour, la mort"
Françoise Objois dans La Croix du Nord du 19 août 2022
Ainsi débute son papier :
Entre rêve et réalité, c’est la poésie des souvenirs qui remontent tels des bulles au rebord de la mémoire d’un vieil hippie utopiste devenu veuf. On assiste ici au télescopage réjouissant entre le monde du tweet des années 2000 et celui du rock des années 60. Entre le monde contemporain et la Beat Generation. (...)
23
Deuil et jardin par Eric Dussert, à propos de "Rivière" dans L'Alamblog :
Pas mal de psychotropes dans le nouveau roman de Lucien Suel, le
jardinier nordiste à plume qui prend plaisir à se remémorer des années
vécues joyeusement... Le sujet de son livre, c'est Claire, qui a laissé, disparue, son amoureux Jean-Baptiste Rivière en déshérence sur cette
terre de tristesse et de réseaux-claviers-écrans. Lire la suite...
24
Sur le site Poezibao, un entretien détaillé avec Florence Trocmé à propos de "Rivière".
25
Sur le site Liminaire, Pierre Ménard parle de "Rivière" et, dans la série "En lisant en écrivant" délivre une superbe lecture à voix haute, un podcast de ses Lectures versatiles(#68) - durée 13'05"
26
Médiathèque de La Madeleine : JFP bibliothécaire donne son avis et 5 étoiles ! Quand on a connu à vingt ans l’effervescence du début des années 70 et
vécu trente années durant un amour parfait contrarié par un cancer,
comment surmonter à la fois l’absence de la femme aimée et la fin des
utopies ? C’est la double épreuve qu’affronte Jean-Baptiste Rivière...
Comme « Mort d’un jardinier », autre merveilleux roman de Lucien Suel, «
Rivière » est un récit paradoxalement habité par une irrépressible
pulsion de vie.